Dissertation : La
croissance économique et le développement durable.
Introduction :
Les
émissions de gaz à effet de serre s’élèvent de 30 milliards tonnes au niveau
mondial en augmentation de 44 % en 2010
par rapport à 1900. La chine, elle seule produit plus de 25 % de cette
pollution, et son effet se hisse de 220 % en 2010 par rapport à 1900.
Etant
conscients de ce danger les pays ne cessent de procéder à des politiques pour
atténuer la pollution, mais sans mettre leur croissance économique en question.
On
entend par la croissance économique, l’augmentation régulière et durable des
quantités des biens et services produites au sein d’un pays, elle est souvent
mesurée par le PIB qui additionne la totalité des valeurs ajoutées créées par
les agents économiques au cours d’une année. La croissance économique parfois
est, de facto, obtenue en épuisant les ressources naturelles et en polluant
l’environnement, ce qui se contredit avec la notion de développement durable.
Ce dernier dénote le développement qualitatif du niveau de vie de la génération
actuelle sans compromettre la capacité des générations futures à jouir un
développement équivalent.
On
assiste, actuellement à un changement progressif et exhaustif dans la manière
dont les pays envisagent de doper leur croissance économique afin d’obvier aux
périls de la pollution.
On peut,
donc se demander dans quelle mesure la
croissance économique est compatible avec le développement durable ?
Plan proposé :
I°/ La croissance économique est une condition
nécessaire pour les pays, mais elle est rébarbative pour les générations
futures :
·
La
croissance économique s’appuie sur l’épuisement de la nature.
· Économiquement les dépenses engagées et la croissance réalisée ne sont pas équivalentes.
·
Une
croissance soutenue n’est plus le synonyme d’une égalité sociale.
II°/ La croissance économique vers une compatibilité
avec le
développement durable :
·
Le danger
des gaz à effet de serre pousse les payes à organiser la Cop22.
·
Les
ressources renouvelables peuvent être un alternatif pour les ressources
traditionnelles (pétrole par exemple).
·
Le
facteur humain est l’élément socle qui permet de résoudre ce problème.
Conclusion:
En guise de conclusion, on a pu voir que les
ressources renouvelables, le progrès technique et le facteur humain
représentent la solution propice aux problèmes environnementaux. Cependant
l’enjeu qui se pose ici est la cadence de reproduction de ces facteurs, en
d’autres termes le renouvellement envisagé sera-t-il capable d’équivaloir le
rythme de la croissance économique désirée ? Cela parait probable si
l’Etat intervient par des investissements dans l’éducation pour former une
population consciente et dans le progrès technique ainsi que la recherche
scientifique afin de rationaliser la manière dont on exploite les ressources
naturelles.
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